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Photo du rédacteurBonfils Frédéric

Mickey and the Bear. Festival de Deauville

Dernière mise à jour : 14 mars 2021

C'est fou. Le hasard de la programmation ?

Ce Matin on a vu deux films très proches.

Bull et Mickey and the Bear. Les tons, le rythme. Ces deux filles perdues, l'atmosphère, mais c'est dommage, car du coup, on est obligé de comparer et ceci ne va pas en faveur de Mickey and the Bear.

Ce film m'a vraiment agacé. Je comprends la difficulté de quitter ce père toxique.

Le personnage de la fille est aussi à bout que moi en tant que spectateur. J'avais envie de rentrer dans l'écran pour leur donner à tous les deux un bon pied au cul (Pardonnez -moi).

C'est certainement la sensation qu'a voulu nous transmettre la réalisatrice et c'est parfaitement réussi.

Ce qu'il m'a dérangé le plus, en vérité, c'est la mise en scène très classique, presque théâtrale et ces foutus lumières rouges et bleu. Je n'en peux plus de ces scènes avec touches colorées.

Mesdames, messieurs les réalisateurs de cinéma indépendant américains. Prévoyez de faire de stage de design avec Pedro Almadovar. Lui, c'ait utiliser les couleurs à merveille.

Du coup, avec tout ça, on est totalement focus sur les acteurs (c'est peut-être le but, également).

J'ai un coup de cœur pour Camilla Morrone. Est-elle trop belle, trop lumineuse ? Paraît-elle trop intelligente, trop classe pour ce monde de brutes ? Ces questions peuvent se poser.

Le sujet, au départ, était bien plus fort que the Bull mais le traitement beaucoup moins.

C'est dommage, car ce n'est pas un film raté, mais on est, quand même vraiment content d'en sortir.

J'ai bien conscience que le ressenti émotionnel est très subjectif, mais le plus clairement du monde, ce film ne m'a pas du tout touché et j'en suis triste.




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